Transcription : « Je pense que nous sommes à un moment, en tant qu’espèce, où c’est littéralement un droit de passage si nous ne percevons pas ce qu’est la vie et comment nous sommes liés dans la vie ensemble, nous ne ferons que tourner en rond jusqu’à ce qu’il soit trop tard.

Nous avons développé des structures physiques, des technologies et des institutions sociales qui ont agi contre la capacité de la nature à soutenir la vie.

Si nous réalisons que nous sommes la nature et que, par conséquent, nous vivons comme la nature, que nous la respectons et que nous l’aimons, c’est une grande richesse.

Nous sommes en fait une espèce clé de voûte d’une importance cruciale et nous, les êtres humains, avons un rôle essentiel à jouer dans le rétablissement de l’équilibre que nous avons déséquilibré. 8 milliards d’années, la vie a créé des conditions propices à la vie.

Si nous, en tant qu’espèce, voulons réussir sur la planète, nous devrions peut-être aussi essayer de suivre les lignes directrices et les règles que toute la vie suit. symbiose mutuellement bénéfique différentes espèces ont appris qu’en établissant des relations avec les autres d’une manière qui était bonne pour les deux, elles pouvaient créer un jeu à somme positive plutôt qu’un jeu à somme nulle pour se réinstaller de manière régénérative

Il faut être guidé par un ensemble très spécifique de valeurs respect révérence responsabilité réciprocité relationnalité si vous donnez à ces principes suffisamment de temps pour agir en vous et sur les autres.

Il y a quelque chose dans cette générosité, dans le fait d’être dans la vie ensemble en ce moment, mon cœur pompe du sang jusqu’à mes orteils et il y a une sorte de générosité qui n’est pas altruiste, il s’agit de la vie qui fait la vie, ce n’est pas une solution technologique qui nous ramènera à la vie.

C’est l’amour de cet endroit et la connaissance du fait que nous avons le mal du pays si nous y parvenons, et je pense que nous devrions le faire, vous aurez l’impression d’être chez vous supposez que nous le ferons supposez que nous sommes déjà des contributeurs positifs supposez que c’est notre vraie nature supposez que notre vraie nature est d’aimer et de ne pas avoir peur ».

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seraient dirigés comme des jardiniers plutôt que comme des
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ingénieurs David merci beaucoup Alice
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c’est un grand plaisir d’être avec vous aujourd’hui
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je dois vous dire que j’ai été
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j’ai passé la première moitié de ma carrière de manager
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carrière de manager et ce que je pense de ce train
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épaves de toutes sortes
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chaque fois que j’ai rejoint une organisation a
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toujours eu des problèmes à
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j’ai d’abord pensé que c’était moi, puis j’ai
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j’ai réalisé que la technique linéaire
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l’approche technique linéaire que j’avais apprise à l’école de commerce
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était erronée, pas complètement erronée, mais qu’elle avait
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été trop étendue, poussée trop loin dans
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dans des domaines où il n’avait pas sa place
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et donc mon thème est que l’anglo-américain
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ou la gestion cartésienne telle que je la conçois
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besoins techniques instrumentaux mécaniques
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d’un nouveau récit non pas pour le remplacer mais pour
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l’englober, la contenir et la garder en elle
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sa place, car sans cela
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nous allons avoir des problèmes
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Je pense que nous devons nous tourner vers la nature
Le cycle d’adaptation
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on parle beaucoup des écosystèmes
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ces jours-ci, mais franchement, je ne détecte pas
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aucune sensibilité à la façon dont les écosystèmes
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fonctionnement réel des écosystèmes si l’on utilise un
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métaphore, il faut les pousser fort
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jusqu’à ce qu’ils se cassent et ensuite vous les guérissez
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et c’est alors qu’ils deviennent productifs
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Je vais pousser cet écosystème
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métaphore de l’écosystème très fort dans les écosystèmes
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il y a quelque chose qui s’appelle le cycle adaptatif, un
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cycle qui va de la conception à la naissance
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la maturité le déclin puis la destruction
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la crise le renouvellement et la renaissance
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et cela va et vient et si vous
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pense immédiatement qu’il convoque un souvenir
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d’un principe taoïste, vous avez raison
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car le taoïsme au début de l’ère écologique
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deux processus un processus créatif
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l’autre destructeur, chacun d’entre eux
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contient en son sein les germes de la
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l’autre et c’est ainsi que nous allons, que l’organisation va
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à travers
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longs processus de croissance du front
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et des effondrements et destructions rapides sur les
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l’arrière, ce qui conduit à des processus très
L’organisation humaine
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perspectives très intéressantes sur le changement dans
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le problème du cadre cartésien
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est qu’il semble penser que la stabilité est
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la pelouse et que le changement doit être
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en fait, dans un écosystème, c’est
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atteint la stabilité par le changement et
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changement par la civilité, ils sont
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les uns avec les autres, ce qui conduit à
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notre mantra écologique rien ne dure
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s’il n’est pas sans cesse renouvelé, rien
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dure et qu’il est sans cesse renouvelé
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donc à quoi ressemblerait une organisation humaine
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à travers cette lentille écologique
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nous aurions de longs processus de croissance
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sur la boucle avant de l’organisation
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et des processus rapides de destruction sur
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le bat’leth
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mais comme il s’agit d’humains
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et non des arbres, nous devons introduire quelques
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phases dans cette passion des innovateurs
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les managers et les leaders la raison et
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les administrateurs sont tout en puissance
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le côté gauche, libre d’agir, ne pas agir
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ne savent pas quoi faire classique
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dilemme de l’entrepreneur qu’est ce que vous êtes
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vous allez faire, vous allez être poussé par
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vos passions et la passion de vos collaborateurs
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communauté au milieu libre d’agir savoir
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ce qu’il faut faire, c’est ce qu’on m’a appris à
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l’école de commerce, tout ce que j’avais à faire, c’était
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d’élaborer un bon plan rationnel et
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tout le monde dit oh nous aimons la logique de
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de ce plan, faisons-le, non, monsieur, nous sommes ici pour savoir
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ce qu’il faut faire, mais nous ne sommes pas libres d’agir
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curieusement contraints, coincés dans un pouvoir
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d’une structure de pouvoir Ok, nous allons vous présenter une
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l’histoire de cette entreprise, les entreprises sont
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conçues dans la passion, elles naissent dans la
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communautés de confiance comme ce Silicium
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Valley et l’esprit d’entreprise est
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le processus qui se déroule ici et
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il se déroule selon un processus de guide
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par passion, par essai-erreur, par un processus de
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bricolage henry mintzberg l’appelle
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l’improvisation faire un peu vendre beaucoup
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La première fois que j’ai eu l’occasion d’entendre parler de ce sujet, j’ai eu l’occasion d’entendre parler de ce sujet.
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une stratégie à venir sur l’émergence de
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stratégie et bien sûr la plupart des entreprises
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échouent au stade où elles sont nées
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mort-nées, mais très peu parviennent à atteindre le stade de la
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l’étape suivante, celle que nous connaissons et
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que l’on connaît et que l’on aime, appelée gestion stratégique.
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se développent et prennent de l’ampleur, elles deviennent
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un énorme succès et voilà que
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la chaîne de valeur de Michael Porter ne semble pas
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du cerveau gauche du PDG, mais de mon cerveau
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rationalisation de ce qui a fonctionné et
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ils se développent à un rythme effréné et ils ont
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une merveilleuse recette pour le succès, donc
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ils se mettent en mode conservation, je veux dire
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pourquoi ne le feriez-vous pas, vous avez cette
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merveilleuse entreprise et vous voulez donc
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mettre en place une organisation qui maintient les choses
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assez stables et nous le savons
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organisation patron patron patron patron et
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nous allons déposer un autre patron sur le dessus de
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là et un autre patron au dessus de là

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et vous pouvez voir le grand patron arriver
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qui arrive par le haut pour opprimer
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déprimer comprimer les gens en dessous
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parce que nous l’avons conçu pour qu’il ne change pas
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parce que nous préservions cette recette
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et c’est pourquoi il est si difficile de changer
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parce que nous connaissons l’ennemi et qu’il est nous
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comme l’a dit Peugeot parce que ce qu’ils font
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ils construisent le siège social et c’est
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une structure merveilleuse et si vous voulez une
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ressource, il faut entrer dans le
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palais et ce quartier est en train de se vendre
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l’accès et ainsi de suite quand vous étiez un
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entrepreneur, si vous vouliez une ressource
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vous deviez trouver un client qui était
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le seul que vous ayez des ressources maintenant
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il faut aller chez le prince, dans le quartier des
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Tour
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qui a un budget et vous connaissez le
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problèmes et au sommet de la
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l’organisation, cela conduit à ce que j’appelle
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l’aspect embaumé, vous avez cette image
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de certains PDG dans les années 1990
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PDG de l’automobile et vous pouvez voir que
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qu’ils portent un peu trop de Rouge
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et qu’ils ont un sourire étrange, qu’ils sont
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Je les vois comme marinés dans le
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hiérarchie avec laquelle ils ont perdu le contact
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l’avant-plan, ils ne sont plus ces types
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ont une nouvelle voiture tous les trois mois
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elle vit dans un garage chauffé, entretenue par
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leur mécanicien doivent-ils se battre
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avec le concessionnaire pour savoir s’il y a des cliquetis
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ou s’il est couvert par la garantie de
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bien sûr pas
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leur organisation est tapissée de
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selfies qui les font paraître formidables et ainsi
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vous pouvez voir ce qui se passe sur les plateaux
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les préparer à la perturbation, à la crise, à l’incendie, etc.
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le palais
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et nous avons déjà vu cette histoire et
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cette histoire vous plonge dans la boucle arrière de l’histoire
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cycle écologique, la dimension humaine, la morale
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dimension morale où les gens ne sont plus
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des instruments, ils sont des fins en soi
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valeur intrinsèque et non extrinsèque
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récurrents ils peuvent produire des performances
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parce qu’ils sont des êtres humains et que nous leur devons
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à la génération suivante de développer
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et vous pouvez voir que les images proviennent de
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que l’une des grandes histoires de la
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des Écritures hébraïques, de la montagne sauvage
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Le désert de la Terre Promise est un lieu de
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confusion on peut se perdre on peut mourir
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on peut y passer quarante ans
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vous pouvez passer là je pense que GM a passé 40
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ans dans le désert, je me souviens
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correctement le poète anglais de l’époque victorienne
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matthew arnold écrivant à une époque de
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grand changement parle d’errance
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entre deux mondes l’un mort l’autre
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l’autre impuissant à naître l’un mort
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l’autre Pallister né j’en suis sûr
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vous rappelle un problème de six lettres qu’un
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île est actuellement en train de traiter
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ne mentionnez pas le mot « please » (s’il vous plaît) dans le
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monde, je suis sûr que j’ai plus de 43
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secondes pour sortir de la
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sauvage, il faut grimper les
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montagne que le leadership créatif nous fait gravir
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la montagne pour avoir une vue de la communauté
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terres promises lait miel ressources pour
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les jeunes et, à partir de ces jeunes
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communauté créative, il y a le choix
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et le choix est le contraire de la crise et
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les dirigeants doivent redescendre sur terre
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ils doivent partir d’abstractions pour descendre
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à l’action Je ne suis pas catholique romain mais en tant que
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d’étudiant en leadership, je suis comme un
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observateur attentif du pape François et ici
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il vient
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il ne vivra pas dans le palais il ne vivra pas
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porter la couronne à onglet il ne voyagera pas
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dans la limousine sophistiquée parce qu’il dit
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cela le coupe de ce qui se passe
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au lieu de cela, il dit : « Quelle est notre mission ?
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les pauvres se concentrent sur la mission
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prenez tout ce dont vous avez besoin partez
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tout le reste derrière et ce qu’il est
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il fait de la sensibilisation en facilitant
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contraintes distribuer la cognition
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devenir conscient discerner le présent
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s’engager dans la complexité restaurer la narration
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créer la gemba de votre dans le japonais
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de la conversation sans chat qui donne du sens
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et sur ce, je veux vous laisser avec une
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l’espoir d’une vision d’un nouveau récit entre
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le mécanique et l’organique
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l’existentiel amid et l’instrumental ISM
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et les gens en tant qu’humains et les gens en tant que
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instruments et merci
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[Applaudissements]