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Nous avons répertorié les questions fréquemment posées!

N’hésitez pas à poser vos questions si vous ne trouvez pas la réponse!





Questions populaires

  • Pourquoi/comment ce projet sera concrètement utile pour la société?

    Lorsque les transformations des sociétés sont globales et à faire, il faut s’assurer de cerner toutes les implications de ces transformations avant de pouvoir comprendre des alternatives de reconfiguration de la société qui seront viables entre elles et qui ne produiront pas de chaos social.

    C’est l’utilité visée par le projet de métamorphose sociale de l’institut d’Écohérence. Identifier tous les enjeux avant de tenter de trouver des solutions.  

  • Serez-vous en mesure de garder votre indépendance politique?

    Le projet est apolitique, car il vise seulement à mettre en évidence les défis de transformation de notre société. Ces défis qui sont déjà  mis en évidence par les multiples crises qui se développent rapidement.

    Le choix des solutions est politique et ce n’est pas le but du projet d’Écohérence. Ce projet vise à exprimer efficacement les priorités ressenties par les citoyens afin de guider les chercheurs de solution.

  • Pourquoi devons nous payer pour joindre la communauté d’Écohérence ou pour jouer un rôle actif?

    Pour deux raisons.

    Premièrement parce que la participation aux activités de la communauté est le meilleur moyen de se former aux techniques de gestion de l’hypercomplexité sociale qui seront critiques pour faire métamorphoser les sociétés en évitant le chaos.

    Deuxièmement parce que le paiement du membership permet de maintenir l’indépendance de l’institut par rapport aux organismes de financement de tout acabit et aussi parce qu’il te procure des réductions très significatives sur les coûts de formation et de participations aux activités de modélisations des défis. 

  • Existe-t-il des solutions similaires ailleurs dans le monde?

    Sur la base de nos connaissances, la plateforme Holosystémique (HS) est la première plateforme de prospective collaborative et de démocratie vivante qui est proposée.

    Il y a beaucoup d’outils pour gérer la complexité d’adaptation des organisations (System design 3.0), mais il y en a très peu pour gérer l’hypercomplexité de faire évoluer les sociétés (System design 4.0)

  • Vous parlez de conscience sociale et de sagesse collective, comment peut-on être certain que les résultats seront réellement dénudés de biais?

    La méthode holosystémique est comme un Excel de perceptions de toutes les informations sur les dynamiques de changements des sociétés qui sont générées par les membres. Et les pondérations sont faites sur des bases normées qui sont explicites pendant le processus.

    Enfin, parce qu’il n’y a aucune interprétation des résultats qui n’est faite par personne d’autre que ceux qui étudient les résultats, le seul biais possible est donc celui du lecteur qui interprète les résultats.

    C’est un processus absolument transparent dont la seule fonction est de décrire la réalité telle que perçue par les participants aux activités. De plus, les cellules ne sont pas des espaces de discussion, ce sont des espaces de description qui suivent un protocole formel universel.

    Dans ce contexte induire des biais ne peut se faire qu’en amont des activités et par les voies de communication actuelles. Ça semble très peu probable.

  • Est-ce que vous utilisez l’IA dans votre projet ?

    Non pas pour le moment.

    L’IA est un outil qui sert à traiter des faits, nous nous traitons des perceptions et ça, l’IA ne sait pas faire. De plus la plateforme HS ne sert pas à prédire, elle sert à décrire les dynamiques en cours. Donc le cadre d’interprétation des résultats dépend directement de la perspective de celui qui les regarde et du moment oû il les regarde. L’IA n’a pas d’utilité dans ce contexte, car il ne peut pas connaître la perspective de celui qui regarde. 

    Toutefois, nous croyons que l’IA deviendra utile plus tard, lorsque nous aurons accumulé suffisamment de datas et d’historiques. L’IA pourra alors nous aider à détecter les bifurcations qui se préparent afin qui nous puissions développer des cellules de prospective collaborative qui nous permettront de les vivre en minimisant les dangers de chaos.  

  • Le fait de ne pas se focaliser sur les solutions permettra-t-il réellement de créer un changement à grande échelle?

    Ici la réponse est dans la question, car si les changements d’un système aussi complexe que nos sociétés sont à grande échelle, alors ça implique une multitude d’impacts différents et d’effets collatéraux pour tout changement de cette nature.

    Si en plus, il faut faire en même temps plusieurs changements à grande échelle alors la complexité du défi explose.

    C’est pourquoi il importe d’identifier et de mettre en perspective tous les principaux impacts et effets collatéraux de chaque changement à grande échelle que nous devons faire. Alors seulement nous comprendrons suffisamment bien la complexité du défi de transformation pour pouvoir identifier les scénarios disponibles et finalement être en mesure d’identifier de vraies solutions qui ne provoqueront pas plus de chaos.   

    Albert Einstein disait : Si vous me donnez un problème complexe à résoudre en une heure, je prendrai 55 minutes pour le comprendre et 5 minutes pour le résoudre.

    Il nous faut donc entreprendre de comprendre ce qui ne fonctionne pas dans notre société actuelle avant de pouvoir prétendre trouver des solutions.

  • Pourquoi 3,5% de gens sont-ils suffisants pour engendrer un changement systémique ? D’autres études parlent de 20% de la population ?

    Ce n’est pas une affirmation, mais c’est une étude américaine qui a mis en évidence qu’aucune transformation sociale pacifique ne s’est faite sans qu’au moins 3,5% de la population soit impliqué.

    Dans ce contexte, nous visons ce niveau d’implication dans la métamorphose de l’économie du Québec pour nous assurer d’avoir le minimum requis pour rendre possible une deuxième révolution tranquille de la société québécoise.

  • On sait que la métamorphose sociale demande les plus gros efforts aux 1% des gens les plus aisés qui sont à l’origine de 80% des dépassements d’émission de GES. Par ailleurs ce sont les mêmes personnes qui en général ont l’influence ou le pouvoir pour pérenniser le système actuel : comment arrivera-t-on à les faire changer ?

    Dans la société actuelle, l’argent est promu comme le principal vecteur de sécurité, ce qui fait que tous veulent en accumuler pour assurer leur sécurité et ils ne veulent pas partager parce que ça réduirait leur sécurité.

    Toutefois, la valeur sécuritaire de l’argent ne peut exister que dans une société stable et les changements auxquels nous sommes confrontés nous seront imposés par des événements internationaux hors de notre contrôle. Et ces événements sont tellement importants que la seule source de sécurité deviendra la capacité de la société québécoise à maintenir sa cohérence et ça, dans un contexte de démocratie, c’est une habileté qui ne peut qu’être collective.

    Nous croyons donc que même les acteurs du 1% vont vouloir participer à la communauté de l’Écohérence parce que tout l’argent du monde ne peut pas résoudre les problèmes qui sont à l’échelle des dynamiques humaines.

  • Vous semblez croire que l’Écohérence est applicable à une Nation comme le Québec ? Pourquoi est-ce un terrain si favorable ? Et pouvez-vous illustrer le pilote réalisé sur une nation autochtone de 8000 personnes ?

    Dans une perspective systémique, le Québec est comme une île culturelle à l’échelle de l’Amérique du Nord. Avec son 1% de la population d’Amérique du Nord et sa langue différente, le Québec a réussi à conserver ses infrastructures de communication locales plus que partout ailleurs.

    Cette caractéristique fait que les Québécois.es sont physiquement en mesure de se parler entre eux et donc de développer collaborativement des projets collectifs. De plus, la sensibilité supérieure des Québécois.es aux défis posés par les enjeux écologiques fait que nous sommes convaincus que le projet de métamorphose sociale démocratique que nous proposons pourra y fleurir rapidement.

    Enfin la culture fortement sociale-démocrate du Québec est probablement l’argument le plus fort pour démontrer la pertinence de lancer ce projet pilote au Québec.

    Nous croyons que la Nouvelle-Zélande possède aussi ces caractéristiques d’agilité sociale supérieure. 



Gouvernance

  • Pourquoi l’Institut d’Écohérence est-il un organisme à but non lucratif et non pas une société par actions traditionnelle ?

    Parce que le mécanisme de prospective collaborative est un mécanisme social et que son fonctionnement repose sur la synergie entre les participants. Dans un tel contexte, une société par actions traditionnelle reviendrait à chercher à devenir un nouveau membre des GAFAM alors que l’objectif est la protection de la démocratie pour assurer un avenir pacifique à notre société.

    L’institut d’Écohérence doit devenir un organe social, donc un organe public et idéalement un organe qui s’autofinance afin de protéger sa liberté d’expression et d’action.


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