Énergie et élection américaine
Voici la traduction d’un article court mais très significatif paru dans le site inspired economist . Les candidats à la présidence des États-Unis sont de plus en plus polarisés sur leurs choix et leurs philosophies. Les américains ont donc l’opportunité de choisir la direction de leur pays en fonction de ces approches très différentes. Un moyen significatif pour comprendre ces orientations politiques est de regarder les gens qui sont nommés aux postes de décisions et nulle part cette distinction est-elle plus claire que dans le secteur de l’énergie. Le secrétaire à l’énergie du président Obama est le Dr Steven Chu, un physicien prix Nobel, qui a dirigé le Laboratoire Lawrence Berkeley, et a enseigné la physique à l’Université Stanford. Ses principales réalisations dans ses quatre années comme secrétaire à l’Énergie comprennent :
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La création d’une exigence pour que les appareils neufs réduisent ou éliminent la quantité d’énergie vampire qu’ils utilisent (énergie utilisée lorsqu’il est branché mais pas allumé, soit environ 15% de l’énergie totale utilisée, et une perte totale).
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La rédaction et mise en place d’une politique visant à l’amélioration du réseau d’électricité de la nation, quelque chose qui, de l’avis de la plupart des chercheurs, peut aider à changer le paysage pour permettre davantage d’énergies renouvelables, et favoriser de meilleures décisions par les consommateurs d’énergie pour diminuer leur consommation et leurs factures.
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Il a également activement promu l’efficacité énergétique en poussant des incitatifs fiscaux pour le calfeutrage et les produits de calfeutrage.
En revanche, le conseiller en efficacité énergétique du candidat républicain Mitt Romney à ce point est Harold Hamm. C’est le chef de la direction d’une entreprise de service pétrolier qui, chaque année, fait de pression agressive face aux membres du congrès pour maintenir la somme de 4,1 milliards de dollars en subventions que les contribuables donnent aux compagnies pétrolières chaque année. Avec les deux candidats qui affirment que l’élection est décisive quant aux choix pour la direction du pays, on ne peut qu’être d’accord. Quand on regarde la politique énergétique, on peut comprendre jusqu’à quel point c’est un choix est entre deux visions radicalement différentes.
Note: J’ai l’impression que, comme pour le Québec, le taux de participation au élection américaine sera très élevé
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